*Document non contractuel. Voir conditions en agence
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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
La stratégie en termes de mobilité porte ses fruits au sein de l’agglomération bordelaise. Selon une enquête menée par Bordeaux Métropole, en partenariat avec Cerema, la part des voitures dans les déplacements est passée sous le symbolique seuil des 50%. Les circulations douces et les transports en commun sont de plus en plus utilisés.
Les Bordelais optent pour les circulations douces
La première constatation concerne la part modale des voitures qui chute à 49,6% et passe en dessous de la barre symbolique des 50%. Lors de l’enquête réalisée en 2009, 59% des ménages du grand Bordeaux utilisaient la voiture pour se déplacer quotidiennement. Aujourd’hui, ce sont pratiquement 10 points de pourcentage qui ont été perdus et environ 300 ménages qui n’ont plus recours à leur véhicule personnel pour se rendre sur leur lieu de travail ou d’étude. Bordeaux Métropole devient, alors, la cinquième agglomération française après Paris, Lyon, Strasbourg et Grenoble, à voir la part d’utilisation de la voiture descendre sous les 50%. Le projet d'ouverture de la première ligne de RER à Bordeaux devrait confirmer cette tendance.
”C’est une grande étape de franchie pour Bordeaux Métropole. Ces chiffres très positifs corroborent le fait que la hausse de la congestion automobile est davantage liée aux déplacements des habitants de la grande agglomération qu’à ceux des habitants de Bordeaux Métropole stricto sensu et à la trop faible capacité d’absorption de la rocade”, se réjouit Alain Juppé, maire de Bordeaux.
Les transports en commun et les circulations douces en augmentation
Dans son rapport d’enquête mené en 2009, Bordeaux Métropole constate que les transports en commun ne sont que très peu utilisés. Pour exemple, lors des sorties du travail aux heures du déjeuner, seul 1% des actifs a recours aux transports en commun. Aujourd’hui, la part modale pour les transports en commun a littéralement explosé et atteint désormais 11,9%.
La part de la marche à pied n’a de cesse d’augmenter. En 2009, elle représentait 24% des modes de déplacement, actuellement elle est de 29%.
Mais c’est l’usage du vélo qui connaît la plus forte augmentation. Effectivement, dans l’agglomération 7,7% des habitants l’utilisent. À Bordeaux même, la part du vélo atteint les 15%.
”L’enjeu, pour les années à venir, consistera donc à développer une offre variée et efficace de transports en commun et à poursuivre la mise de 2x3 voies de la rocade”, conclut Alain Juppé.
Pourquoi réaliser une telle enquête ?
En 2009, une première enquête avait déjà été réalisée par Bordeaux Métropole. En août 2017, une étude similaire a été annoncée par la municipalité de la ville. L’objectif étant de faire un bilan concernant les modes de déplacements des habitants et de faire un comparatif avec ce qui avait été constaté quelques années plus tôt.
C’est auprès de 3.000 ménages tirés au sort que le sondage a été effectué. Un rendez-vous téléphonique fut fixé avec les membres des ménages afin de les questionner, pendant une quinzaine de minutes, sur leurs habitudes de déplacements.
Le réseau de tramway entre dans sa phase terminale
Le tramway a circulé pour la première fois au sein de l’agglomération bordelaise en 2003. Depuis 2008, ce mode de transport en commun a entamé sa dernière phase de travaux. La municipalité a investi près d’un milliard d’euros, pour construire 33 km supplémentaires de voies de circulation de tramway. Dans ces 33km, 7 sont réservés à l’extension de la ligne C en direction de Blanquefort et qui s’ajoutent aux 44 km existants. D’ici 2020, l’objectif est d’atteindre les 200 millions de voyageurs par an.
Actuellement, le réseau de tramway est composé de 3 lignes :
Une nouvelle ligne de tramway devraient voir le jour d’ici à 2019. Appelée “ligne D”, elle sera longue de 9,8 km et permettra de lier la place des Quinconces (au centre-ville de Bordeaux) à la commune d’Eysines.
Sources :
Enquête mobilité
Enquête mobilité datant de 2009
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