*Document non contractuel. Voir conditions en agence
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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
Bordeaux a déployé l’un des plus importants réseaux de tramway de France, avec le projet de le prolonger jusqu'à Eysines. La Perle de l’Aquitaine a même inspiré des villes comme Toulouse ou encore Montpellier, qui se sont laissées tenter par la mise en service de plusieurs lignes de ce transport en commun câblé. Toutefois, au vu de l’arrivée massive de nouveaux habitants tous les ans, Bordeaux a besoin de trouver de nouvelles solutions en matière de circulation. Si l’on en croit les dires des habitants de l’agglomération, le périphérique est en continuelle saturation et le centre-ville atteint des pointes de pollutions records dûes à l’omniprésence de véhicules polluants.
Quelles sont les solutions que la mairie de Bordeaux déploie sur le territoire métropolitain ? Bordeaux a-t-elle les ressources suffisantes pour innover dans le secteur des transports ?
Les circulations douces à Bordeaux
Les circulations douces représentent l’ensemble des modes de déplacement qui sont respectueux de l’environnement. Communément, elles se matérialisent par la marche à pied ou le cyclisme.
Depuis le 8 octobre 2018, plusieurs trottinettes électriques en libre-service ont été déployées dans le centre-ville de Bordeaux. La société allemande Byke Mobility Gmbh est à l’origine de la mise en place de ces modes de transport. Pour les emprunter les Bordelais peuvent télécharger une application mobile dans laquelle ils déboursent 1€ afin de débloquer l’engin. Chaque minute d’utilisation est facturée 0.15€.
Dès le premier trimestre 2019, la ville de Bordeaux mettra à la disposition de ses habitants des vélos électriques en libre-service. Au total, un réseau composé de 1.000 bicyclettes à moteur sera installé au quatre coins de la Perle de l’Aquitaine.
”C’est une révolution. lls vont répondre à la topographie de la métropole, et permettre ainsi de rejoindre le centre-ville de Bouliac via la côte de l’Empereur, ou encore Lormont, ou la côte des Quatre-Pavillons. Ils permettront d’aller plus loin, et de se rendre au-delà des boulevards et de la rocade”, assure Christophe Duprat, vice-présidence de Bordeaux Métropole en charge des transports.
De fait, dès le début de l’année 2019, 50% de la flotte bordelaise de vélos en libre-service sera renouvelée au profit de vélos électriques. Ces derniers présentent une autonomie de 10km. La batterie, dont le poids est estimé à 1 kg, se charge en seulement 1h30, dans les bornes de dépôt des vélos.
Le centre-ville de Bordeaux de plus en plus prisé par les cyclistes
Depuis l’été 2017, la municipalité bordelaise a fermé l’accès du pont de Pierre à la circulation de véhicules. Suite aux retombées positives, notamment d’un point de vue environnemental, Alain Juppé, maire de Bordeaux, et ses conseillers, ont pris la décision de fermer définitivement le pont de Pierre aux voitures et aux camions. En outre, la fréquentation des transports en commun a augmenté et les habitants se sont résignés à avoir recours à des modes de déplacement propre. Le pont de Pierre reste toutefois accessible aux services d’urgences et aux transports en commun. Cette décision a poussé les habitants à avoir recours aux transports en commun ou à faire l’usage de leur vélos. Toutefois, le coeur historique de Bordeaux n’est pas encore prêt à devenir entièrement piéton.
Les nouvelles fondations, telles que le Pont Simone Veil, prévoient l’installation de voies spécialement réservées aux lignes de bus ainsi qu’aux cyclistes.
Bordeaux a-t-elle besoin de nouvelles solutions de transports ?
Au cours de l’été 2018, un enseignant-chercheur, Mickaël Baudonne, a mis en avant l’importance pour la ville de Bordeaux d’obtenir un réseau de métro. Effectivement, la population est en perpétuelle augmentation et ce transport souterrain proposera de meilleures solutions de déplacement que le tramway. En outre, le temps de trajet serait radicalement réduit et le taux de fréquentation serait nettement supérieur à celui du tramway.
Bordeaux Métropole est une véritable terre d’accueil pour les cadres venus du nord de la France, et plus particulièrement de la région parisienne. D’ailleurs, la métropole bordelaise souhaite que sa démographie atteigne ou dépasse le million d’habitants.
L’idée d’installer un métro au sein de la Perle de l’Aquitaine, n’est pas nouvelle. Le réseau de transport souterrain avait été imaginé en 1981 par Jacques Chaban-Delmas. Toutefois, après de nombreuses études effectuées par le conseil administratif, le projet ne voit pas le jour. En outre, des facteurs environnementaux poussent Bordeaux à développer le réseau de tramway plutôt que le métro. Les sols sont hétérogènes et l’élaboration de sous-sol est défavorable.
Bien que dans les années 80, avant qu’une importante vague de travaux vienne embellir la ville, la densité de population était relativement faible et le métro ne figurait pas comme une construction de premier ordre. Aujourd’hui, l’enseigne Mickaël Baudonne relance le débat et voit en l’élaboration du métro, une manière d’adapter Bordeaux aux besoins actuels de mobilité.
L’agglomération bordelaise recycle ses routes
À une quarantaine de kilomètres au nord de Bordeaux, une portion d’un kilomètre de l’A10 a été recyclée. Il s’agit d’une méthode innovante dans le domaine du recyclage. Elle préserve notamment les ressources naturelles, puisqu’elle n’utilise en rien des granulats vierges. De plus, ce mode de fonctionnement permet de réaliser de considérables économies de transports et limite dont l’émission de gaz à effet de serre.
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